Morceau introductif d'un opéra qui, au contraire du prélude, ne s'enchaîne pas directement au début de l'acte. L'ouverture à la française s'articule en trois parties : 1) Une section lente et solennelle au rythme martial. 2) Une section vive et fuguée. 3) Une partie conclusive à nouveau lente, qui peut être une reprise de la section initiale. Certaines ouvertures d'opéras de Mozart, Rossini, Verdi et Wagner se sont imposées comme des morceaux de concert indépendants. On y trouve parfois quelques-uns des thèmes qui réapparaîtront dans l'opéra.
Mozart : Ouverture (Les noces de Figaro)